Willkommen bei Vernuenftig bleiben – nachhaltig statt planlos Websites. Dies ist dein erster Beitrag. Bearbeite oder lösche ihn und beginne mit dem Schreiben!
Willkommen bei Vernuenftig bleiben – nachhaltig statt planlos Websites. Dies ist dein erster Beitrag. Bearbeite oder lösche ihn und beginne mit dem Schreiben!
La loi sur le CO2 apporte d’innombrables prescriptions et interdictions. En multipliant les exigences et restrictions, on cherche à imposer un nouveau comportement à la population, mais aussi à l’économie. Bref, l’Etat veut rééduquer le peuple.
La nouvelle loi prévoit non seulement une hausse des prix des carburants et des combustibles de chauffage, mais aussi un nouvel impôt sur les billets d’avion, pour ne citer que cet exemple. Chaque citoyenne et chaque citoyen doit bien comprendre ce que lui en coûte de ne pas obéir aux lois des Verts.
Tout cela ne servira strictement à rien au climat, car en une année la Suisse émet autant de CO2 que la Chine en une demi-journée. Il faut donc savoir raison garder. L’heure est au bon sens humain et non pas à un activisme confus.
Lorsqu’une entreprise a des difficultés, ses places de travail sont menacées. Les sévères prescriptions sur le CO2 posent de lourds problèmes à de nombreuses petites et moyennes entreprises, déjà menacées dans leur existence par la pandémie de Covid-19.
Si de surcroît ces exploitations subissent des frais ainsi que des impôts et redevances supplémentaires, nombre d’entre elles seront contraintes de licencier du personnel ou de baisser les salaires pour retrouver leur rentabilité.
La nouvelle loi sur le CO2 alourdit la bureaucratie, les règlementations et surtout les coûts pour les arts et métiers. Il n’est finalement plus question de l’efficacité de la politique climatique, mais bien du renchérissement de la consommation d’énergie. La mobilité est tout particulièrement frappée: les nouvelles prescriptions entraînent une hausse des prix des carburants allant jusqu’à 20 centimes par litre. L’huile et le gaz de chauffage renchérissent également. Il en résulte une hausse massive des coûts pour les arts et métiers.
Dans la situation actuelle où une récession menace et où de nombreuses exploitations se battent contre de grosses difficultés financières à cause de la pandémie de Covid-19, il est particulièrement malvenu de détériorer encore plus les conditions-cadres économiques par une intervention politique.
Les renchérissements provoqués par la loi sur le CO2 frappent tout le monde. Si les coûts énergétiques et de distribution des arts et métiers, du commerce de détail et des magasins augmentent, les prix des produits partent forcément à la hausse. Une fois de plus, les consommatrices et consommateurs en feront les frais, donc les mêmes personnes qui ont déjà dû passer à la caisse à cause de l’augmentation des loyers et des prix des carburants.
Nous ne pouvons pas accepter que des fonctionnaires règlementent notre vie quotidienne. Des consommatrices et consommateurs adultes n’ont pas besoin de recommandations pour acheter des produits prétendument favorables au climat et pour leur donner mauvaise conscience.
Les charges supplémentaires que la loi sur le CO2 impose aux propriétaires immobiliers sont énormes. L’huile et le gaz de chauffage renchérissent massivement, si bien que les frais de chauffage augmentent.
Les propriétaires qui louent leurs appartements ou bureaux à des tiers peuvent reporter une partie de la hausse via les loyers. Les propriétaires qui habitent leur logement n’ont pas cette chance: ils doivent supporter complètement les frais supplémentaires. Ce sera dur pour les personnes âgées habitant leur propre maison ou appartement: ils logent souvent dans des immeubles âgés; ils ont investi leurs économies dans le logement et ne disposent que d’un faible revenu.
Les coûts explosent littéralement si les propriétaires sont contraints d’assainir ou de remplacer leur chauffage. La loi sur le CO2 interdit de fait les chauffages à combustible fossile à partir de 2023. Les propriétaires seront contraints d’avancer ces dépenses. Seule une partie pourra être reportée sur les locataires.
Les automobilistes paient une bonne partie de la facture CO2. D’ici à 2024, la hausse des prix des carburants pourra aller jusqu’à 10 centimes par litre, puis dès 2025 jusqu’à 12 centimes. Compte tenu de toutes les augmentations, le prix au litre progressera de quelque 20 centimes en l’espace d’un petit nombre d’années. Chaque plein coûtera sensiblement plus cher.
Les prix des voitures augmenteront également. Les garagistes et importateurs automobiles s’exposent à des sanctions et amendes drastiques si leurs véhicules dépassent les valeurs limites CO2. Le prix de nombreux modèles s’accroîtra d’un montant à quatre décimales.
Mais ce n’est pas tout: le produit de ces prélèvements ira dans un fonds climatique et ne sera donc plus disponible pour la construction routière. C’est une évidence: la nouvelle loi sur le CO2 pénalise directement le trafic automobile.
Pour les locataires, l’acceptation de la loi sur le CO2 entraîne une augmentation des loyers. Le compte est simple: le doublement de la taxe CO2 provoque la hausse du prix de l’huile et du gaz de chauffage. Celle-ci se répercutera directement sur les frais de logement.
Près des deux tiers des immeubles sont chauffés à l’huile ou au gaz. C’est dire que la hausse des prix touche de larges parties de la population. Si les propriétaires immobiliers sont contraints par les nouvelles prescriptions d’assainir, voire de remplacer le chauffage, le coût sera encore plus élevé. Les conséquences financières pour les propriétaires, mais aussi pour les locataires seront alors vraiment lourdes.
Hallo, dies ist ein Kommentar.
Um mit dem Freischalten, Bearbeiten und Löschen von Kommentaren zu beginnen, besuche bitte die Kommentare-Ansicht im Dashboard.
Die Avatare der Kommentatoren kommen von Gravatar.